Tanger Tech : Haite imposé de force face au plan Whitestones
« Avec la Chine, il fallait quelque chose qui frappe les esprits. Ce n’est pas comme avec un Etat africain quelconque avec qui une batterie de conventions plus ou moins abouties pouvaient faire l’affaire. La visite royale à Pékin se devait d’être concluante en matière de coopération stratégique », tente d’expliquer une source au Desk qui, après les répercussions de l’affaire Tanger Tech et les justifications avancées par les officiels, a décidé de parler, mais sous couvert d’anonymat, « le dossier est trop sensible autrement », dit-elle.
Premier point : ce témoignage confirme les propos tenus par Ilyas El Omari, président de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, lors de l’entretien qu’il avait accordé au Desk en amont de notre enquête sur Tanger-Tech. Son récit, bien qu’apocryphe à bien des égards, notamment sur le rôle central qu’il s’attribue dans la démarche auprès des Chinois, alors que d’autres sources attestent qu’il s’agit d’abord d’une approche menée par la BMCE Bank d’Othman Benjelloun, décrivait un processus hâtif et désordonné.
Des faits nouveaux dont les autorités en charge de la réalisation de la future « Cité Mohammed VI Tanger-Tech » se gardent bien d’évoquer, viennent confirmer cette donne centrale justifiant davantage les appréhensions sur le devenir du projet.
Abonnez-vous pour continuer la lecture
à partir de 40 dh par mois
(facturé annuellement)
Choisir une offreLe Desk a été le premier à révéler
©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.
