Najib Akesbi : « Nous avons rompu l’équilibre de nos écosystèmes »
Le Maroc est en train de vivre cette année la pire sècheresse des trois dernières décennies. Cette situation, conjuguée au stress hydrique dont souffrent les nappes phréatiques, nous pousse à nous interroger sur les tenants et les aboutissants de notre politique agricole.
Selon l’enseignant-chercheur de gauche, spécialisé dans l’économie agricole, « nous marchons sur le tête » en matière de choix de productions. « C’est une folie d’enlever l’orge pour le remplacer par la pastèque », nous affirme-t-il.
Pour Najib Akesbi, nous avons rompu l’équilibre de nos écosystèmes, et sommes responsables de notre dépendance alimentaire.
FACE AU DESK
Najib Akesbi
Pour commencer, il est opportun de comprendre pourquoi un pays à vocation agricole tel que le Maroc dépend toujours de la pluie et n’a pas développé d’autres alternatives ?
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