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Aviation civile
A Casablanca, Emirates face à un lobby RAM-ONDA-Qatar Airways ?

30.11.2016 à 07 H 51 • Mis à jour le 30.11.2016 à 07 H 52 • Temps de lecture : 1 minutes
Par La rédaction

« Le Maroc dispose d'importantes infrastructures aéroportuaires lui permettant de se positionner comme un pont liant le Nord et le Sud », a déclaré à la MAP, mardi soir le secrétaire général de l’Organisation des compagnies aériennes arabes (AACO), Abdelouahab Toufaha, alors que se tenait à Casablanca la 49ème Assemblée générale de l’AACO sous l’égide de la Royal Air Maroc (RAM) dans un climat tendu entre l’Office national des aéroports (ONDA) et la compagnie Emirates à propos du report de l’exploitation de ses A380 sur la ligne Casablanca-Dubaï. La langue de bois du SG de l’AACO n’a pourtant pas masqué le fait que les représentants de la compagnie du Golfe n’ont pas assisté à la clôture de la conférence. Selon des sources internes de l’ONDA, « Emirates compte peser en tant que premier client de l’A380 pour faire valoir ses positions auprès d’Airbus qui par ailleurs investit dans le secteur aéronautique marocain », reconnaissant toutefois que « le dossier est définitivement ajourné à mars 2017, date de l’ouverture du nouveau Terminal T1 ». Certaines voix au sein d’Emirates qui scrutent aussi d’un œil noir l’alliance conclue entre sa concurrente Qatar Airways et la RAM prévoyant à terme la participation au capital de la compagnie nationale, estiment qu’il existe à Casablanca « un lobby regroupant la RAM, l’ONDA et Qatar Airways qui risque de voir certaines compagnies rechercher d’autres hubs émergents dans la sous-région et délaisser celui de l’aéroport Mohammed V ».

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