NominationAvec Jazouli, le Palais autonomise sa diplomatie-business en Afrique
La nouvelle a surpris, d’autant qu’elle avait été précédée quelques mois plus tôt par une polémique lancée par Le1.ma. Le site d’information de Nawfal Laârabi y faisait le parallèle avec l'affaire Southbridge dans laquelle s’était embourbée la secrétaire d’Etat au tourisme, Lamia Boutaleb. Le média accusait sa collègue à la diplomatie, Mounia Boucetta d’avoir livré au cabinet Valyans les données confidentielles de son action en Afrique en lui sous-traitant un audit de surcroît facturé à 3 millions de dirhams.
L’affaire avait très vite été déminée. Une source anonyme aux affaires étrangères, abondamment citée par la presse, avait parlé de « coup de main aux équipes du ministère (…) en back office, (…) dans le respect des procédures de passation des marchés », ramenant le travail du cabinet de consulting, qui rivalise pourtant au Maroc avec les McKinsey et autre BCG, à un travail d’exécution : « des saisies des données, des scans, et du traitement de l'information sans avoir accès aux données sensibles et ultra confidentielles »…
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