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n°438.Wikileaks: les dessous de l’arrestation de Julian Assange

11.04.2019 à 14 H 41 • Mis à jour le 11.04.2019 à 14 H 41 • Temps de lecture : 8 minutes
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L’Équateur a levé l’asile qu’il accordait au fondateur de WikiLeaks, réfugié dans une pièce de son ambassade depuis le mois de juin 2012 alors qu’il tentait d’échapper à une extradition vers la Suède où il est accusé d’agressions sexuelles. Après l’interpellation de Julian Assange par la police ce jeudi 11 avril, la justice britannique doit désormais décider de son sort, et notamment de son expulsion vers les États-Unis, où il est visé par une procédure liée à ses activités de lanceur d’alerte

Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange est sorti de l’ambassade équatorienne de Londres où il était réfugié depuis sept années et a été interpellé, a annoncé jeudi 11 avril la police britannique.


Selon le communiqué de la police métropolitaine de Londres, cette arrestation fait suite à un retrait par l’Équateur de l’asile dont bénéficiait Julian Assange. Les policiers ont été autorisés à pénétrer dans l’ambassade et à procéder à l’arrestation. Le lanceur d’alerte bénéficiait de cet asile au sein de l’ambassade depuis le 19 juin 2012, mais cela faisait plusieurs mois que son expulsion était annoncée comme imminente. Vendredi dernier encore, WikiLeaks avait alerté que celle-ci devrait intervenir « dans les heures ou les jours à venir ».


Officiellement, la justice britannique reproche à Julian Assange de s’être soustrait à son extradition vers la Suède, qui avait lancé un mandat d’arrêt à son encontre dans le cadre de l’enquête sur les agressions sexuelles dont il est accusé.

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