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n°292.Un expert en droit maritime revient sur l’affaire Cherry Blossom en défense d’OCP

12.04.2018 à 23 H 56 • Mis à jour le 15.04.2018 à 11 H 24 • Temps de lecture : 5 minutes
Par
Philippe Delebecque, président de la Chambre d'arbitrage maritime de Paris, analyse pour TradeWinds la décision prise le 23 février par un tribunal de Port Elizabeth d’attribuer la propriété du phosphate vendu par OCP à son client neo-zélandais au Front Polisario. Pour lui, ce jugement ne peut que susciter de l’incertitude sur le commerce international

L’affaire Cherry Blossom du nom du navire vraquier transportant une cargaison de phosphate du groupe OCP saisi en Afrique du Sud en mai 2017, suite au dépôt d'une action spéculative par le Front Polisario, qui revendiquait la propriété des phosphates à bord, continue d’animer les débats d’experts.


Philippe Delebecque, professeur de droit à la Sorbonne, président de la Chambre d'arbitrage maritime de Paris, et ancien consultant auprès d’OCP, analyse à nouveau la décision prise le 23 février par un tribunal de Port Elizabeth d’attribuer la propriété de la marchandise au Front Polisario, la jugeant « surprenante » et « dangereuse », dans une tribune publiée sur le site spécialisé TradeWinds.


Vendus par OCP à la coopérative Ballance Agri-Nutrients en Nouvelle-Zélande, les phosphates en question provenaient du Sahara occidental, un territoire soumis à un processus politique en cours sous les auspices des Nations Unies.

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