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n°559.Taghazout Bay: les raisons d’une colère

18.02.2020 à 13 H 31 • Mis à jour le 18.02.2020 à 13 H 31 • Temps de lecture : 6 minutes
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Coupables d’infractions à la loi sur l’urbanisme, des sociétés ont été sommées de détruire plusieurs de leurs bâtiments à Taghazout Bay. A leur tête, Sud Partners de Aziz Akhannouch. Plongée dans de cette station balnéaire « maudite », embourbée dans un nouveau scandale à quelques mois de son ouverture

Coup de tonnerre dans le landerneau touristique. Le 15 février, les autorités ont ordonné la démolition de dizaines de bâtiments à la station balnéaire de Taghazout Bay, près d’Agadir. La raison : de multiples infractions à la loi 66-12 relative au contrôle et la répression des infractions en matière d’urbanisme et de construction. Et pas des moindres : villas construites sans autorisations, dépassements de superficies, rajouts et changements sans lien avec le plan initial…


Le 16 février, les bâtisses incriminées laissaient la place à un vaste champ de gravas. Sans aucune explication des responsables de la station. « Je suis occupé, rappelez-moi plus tard », nous dit Mohammed Cherkaoui, le nouveau directeur général de la Société d’Aménagement et de Promotion de la Station de Taghazout (SAPST), qui ne répondra plus à nous appels. « Je n’ai aucun commentaire à faire », lance à son tour la directrice générale déléguée Laïla Bensouda. Aucune réponse non plus de la part de l’ancien DG Ahmed Oulahna, qui a quitté son poste il y quelques mois.


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