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n°495.Maroc: les limites de la technocratie autoritaire

29.07.2019 à 09 H 02 • Mis à jour le 29.07.2019 à 09 H 02 • Temps de lecture : 3 minutes
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Que faut-il retenir de ces vingt premières années du règne de Mohammed VI. Si le visage du Maroc s’est profondément métamorphosé en terme d’infrastructures grâce à des efforts titanesques déployés dans divers « grands chantiers », la transformation de ces acquis en développement humain n’a pas eu lieu, preuve en est l’évolution des principaux indicateurs du pays…

En vingt ans, le visage du Maroc s’est profondément métamorphosé. C’est aujourd’hui, à l’heure de ce bilan, que cette vitrine du royaume est abondamment mise en valeur. De ces acquis, certains sont incontestables, notamment en matière d’infrastructures, tant le pays hérité du long règne de Hassan II était, sur ce plan, à la traîne et les efforts titanesques consentis depuis 1999 ont permis de rattraper un retard considérable.


On en égrène ainsi les réalisations : le port Tanger-Med promis à devenir le plus imposant de la Méditerranée, le réseau autoroutier, un des plus dense d’Afrique (1831 km), la centrale solaire Noor de Ouarzazate, classée au top mondial (580 MW à terme)... Des villes ont été transformées, l’électrification des zones enclavées parachevée, et un des projets jugés de prestige, comme celui du TGV reliant les deux pôles industriels de Casablanca et Tanger a indubitablement insufflé une nouvelle dynamique au rail marocain…

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