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n°345.L’affaire Adib va-t-elle réveiller les vieux démons franco-marocains ?

04.09.2018 à 02 H 49 • Mis à jour le 04.09.2018 à 10 H 14 • Temps de lecture : 10 minutes
Par et
Une brochette de patrons de presse, journalistes et chroniqueurs sont convoqués par la justice française pour des articles datant de 2014 traitant de la visite impromptue de l’ex-capitaine Mustapha Adib, aujourd’hui exilé en France, au chevet du général Abdelaziz Bennani hospitalisé à l’époque au Val-de-Grâce. L’exhumation de cette affaire risque-t-elle de provoquer la première fâcherie franco-marocaine sous Macron ?

Il n’est pas coutume que l’agence officielle MAP fasse état d’une actualité judiciaire mettant en scène des médias locaux et leur plaignant. Mais lorsqu’il s’agit de la justice française qui agit sur la plainte d’une personne cataloguée comme un irréductible opposant au régime, l’affaire prend une tournure particulière. Signe avant-coureur d’étincelles à venir ?


Il y a quelques jours, on apprenait par voie de presse que le directeur de publication de Quid.ma, Naïm Kamal, et la journaliste Narjis Rerhaye, sont convoqués par la vice-présidente chargée de l’instruction au Tribunal de grande instance de Paris pour une affaire qui avait défrayé la chronique en 2014, depuis oubliée, mais qui manifestement suivait son cours en France.


Une affaire démarrée sur fond de crise entre Rabat et Paris

Celle-ci débute le 18 juin 2014. Les relations entre Paris et Rabat traversent alors une période glaciale en raison des velléités d’une juge d’écouter Abdellatif Hammouchi, le patron du renseignement intérieur accusé par le boxeur Zakaria Moumni de torture.


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Par et @MarocAmar
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