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n°683.Brahim Ghali condamné, la succession est désormais ouverte à la tête du Polisario

25.04.2021 à 00 H 10 • Mis à jour le 25.04.2021 à 00 H 10 • Temps de lecture : 5 minutes
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Le chef du Polisario souffre d’un cancer avancé, sa contamination au virus du Covid-19 aggrave son état de santé, ce qui a poussé le pouvoir d’Alger à le transférer à l’étranger. Mais le choix de l’Espagne intrigue alors que la succession à la tête du mouvement sahraoui séparatiste est désormais ouverte dans un contexte qui lui est très défavorable

Le transfert en catimini de Brahim Ghali, 73 ans, dans un hôpital public de Logrono, près de Saragosse a provoqué des vagues dans les relations déjà tendues entre Rabat et Madrid. Selon nos informations, les autorités marocaines n’ont été avisées par leurs homologues espagnoles de la présence du chef du Polisario qu’après son arrivée et sa prise en charge médicales. L’information éventée depuis Paris par le magazine panafricain Jeune Afrique a même surpris dans les rangs du mouvement séparatiste, y compris parmi ses figures résidentes en Espagne.


Si la diplomatie espagnole a tenté d’amortir la réaction du Maroc, la ministre des Affaires étrangères Arancha González Laya ayant le 23 avril affirmé que les relations avec Rabat ne seront pas affectées, l’opération ayant été justifiée pour des « raisons humanitaires », cela n’a pas empêché son homologue marocain Nasser Bourita de convoquer l'ambassadeur d'Espagne au Maroc, Ricardo Diez-Hochleitner Rodriguez, pour des explications.

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