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n°167.Angola : Comment le Maroc se prépare à l’après-Dos Santos

20.06.2017 à 06 H 12 • Mis à jour le 20.06.2017 à 06 H 31 • Temps de lecture : 9 minutes
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Fin politicien à la poigne de fer, le dictateur marxiste José Eduardo Dos Santos a réussi à diriger sans partage l'Angola pendant 37 ans. Son prochain départ prévu fin août et annoncé fin 2016, pourrait ouvrir à Rabat de nouvelles perspectives avec ce géant pétrolier lusophone, jusqu’ici un de ses plus irréductibles ennemis sur le continent. Nasser Bourita s'y emploie, mais les plaies du passé sont encore grandes ouvertes

Sous le crépitement des flashs, une poignée de main inattendue entre Nasser Bourita et son homologue angolais Georges Rebelo Pinto Chikoti est venue marquer le 18 juin au siège du ministère des Affaires étrangères un nouveau tournant dans les relations tumultueuses entre Rabat et Luanda.


Une première et une percée du Maroc en Afrique australe souligne Telquel.ma, auprès d’un pays toujours considéré comme hostile par le royaume, mais dont la nouvelle doctrine diplomatique prône avant tout le pragmatisme avec les Etats africains à fort potentiel.


L’Angola est dirigé depuis 37 ans par un homme au sourire énigmatique et à la poigne de fer : Jose Eduardo Dos Santos. À 74 ans, fatigué par la maladie, l'ancien rebelle marxiste a confirmé début 2017 qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat à la tête du pays lors des élections générales prévues en août.

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