La victoire de François Hollande aux élections présidentielles de 2012 avait été accueillie avec tiédeur par les autorités marocaines, inquiètes d’un éventuel rééquilibrage des relations franco-maghrébines au profit de l’Algérie. Les premiers mois de la présidence Hollande n’avaient fait que renforcer cette inquiétude avec la nomination de proches et de responsables perçus comme étant pro-algériens.
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