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Guerre sans nom au Sahara : la réalité sur le terrain

31.10.2022 à 17 H 21 • Mis à jour le 01.11.2022 à 00 H 55 • Temps de lecture : 12 minutes
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Depuis la fin du cessez-le-feu décrétée par le Polisario fin 2020 suite à sa débandade à Guerguerat, les séparatistes ont mené jusqu’ici près de 2 000 opérations de harcèlements contre le mur de défense des FAR érigé au Sahara Occidental. Le Maroc, fort de sa suprématie militaire n’a quant à lui fait état à l’ONU que d’incidents mineurs en moindre nombre et menace de reprendre le contrôle total du territoire. Le Desk fait le point cartographié et chiffré de la situation

La résolution 2654 sur la situation au Sahara Occidental adoptée par le Conseil de sécurité le 27 octobre , renouvelant ainsi jusqu’au 31 octobre le mandat de la Minurso a contenté le Maroc qui se voit conforté dans ses positions, tandis que le Front Polisario est sommé de cesser tout action belliciste et son chaperon algérien appelé à rejoindre le processus politique au point mort.


L’ONU alerte sur les entraves que subissent ses Casques bleus dans ses team sites localisés dans la frange du territoire située à l’est du mur de défense des Forces armées royales (FAR) et les conditions humanitaires déplorables vécues par les populations civiles des camps de Tindouf.


Le représentant du Maroc aux Nations Unies, Omar Hilale a brandi la menace de recourir à la force armée pour reprendre le contrôle du territoire laissé à la Minurso en 1991 au cas où le Polisario ne se pliait pas aux exigences de la communauté internationale. Une menace par ailleurs justifiée par l’hypothétique recours par le Polisario de drones dont le Maroc a attribué la provenance de l’Iran.

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