S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk

Connectez-vous

ou

Abonnez-vous !
80 DH

1 mois
Découvrir les offres

Le bloc notes de la rédaction

Grand écran

« Razzia », futur proche d’un Maroc crépusculaire ?

15.02.2018 à 07 H 58 • Mis à jour le 15.02.2018 à 09 H 03 • Temps de lecture : 3 minutes
Par
Après les images crues du censuré « Much Loved », Nabil Ayouch filme un Maroc corseté par les interdits et miné par la fragmentation de sa société. De la destruction des identités par une école abrutissante sous Hassan II, il nous raconte la grande menace qui nous guette désormais, celle de la perte de toute cohésion sociale. Un hymne à la vie et à la liberté en guise de terrible avertissement

Avec Razzia, un film sombre et inquiétant, malgré une note d’espoir avant la montée du générique, le réalisateur Nabyl Ayouch, revient à son public, après le clivant Much Loved, par une fresque à l’esthétique fellinienne, patchwork de vies mêlées attachantes et poétiques, mais annonciatrices d’un Maroc au bord de l’explosion sociale.


Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par @MarocAmar
Le Desk Culture