n°520.Après les législatives, Israël toujours face au même casse-tête politique
Il ne sera pas dit que Benjamin Netanyahou ne se sera pas battu jusqu’au bout, et par tous les moyens, pour se maintenir au pouvoir. Et tenter d’échapper à la prison. Les résultats des sondages de sortie des urnes israéliennes, mardi 17 septembre 2019 au soir, semblent le placer en seconde position, derrière le parti Bleu et Blanc (Kahol Lavan) de l’ancien général Benny Gantz. Pour autant, celui qui est premier ministre depuis dix ans n’a pas dit son dernier mot car, comme lors du scrutin précédent au mois d’avril, aucune majorité de gouvernement ne se dessine clairement.
En Israël, il faut 61 députés pour constituer une majorité de gouvernement sur les 120 que compte la Knesset. Ceux de Bleu et Blanc en obtiennent entre 32 et 34, le Likoud de Netanyahou entre 31 et 33 selon les différentes estimations, en attendant les résultats définitifs prévus dans la journée de mercredi 18 septembre. Lorsque l’on additionne ces sièges avec ceux des partis qui ont franchi la barre des 3,25 % et qui sont susceptibles de rejoindre l’un ou l’autre des deux camps, Netanyahou se retrouve avec 56 sièges et Gantz avec 55…
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