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n°258.Israël et Trump continuent de mettre la pression sur les Palestiniens

05.01.2018 à 14 H 29 • Mis à jour le 05.01.2018 à 14 H 29 • Temps de lecture : 7 minutes
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Profitant de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par les États-Unis, la droite israélienne pousse son avantage, alors que Washington menace de couper son aide financière aux Palestiniens

Les conséquences de la décision des États-Unis de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël continuent de se faire sentir telles les vagues qui s’écrasent sur le rivage après le passage d’un navire. L’attitude américaine a encouragé la droite et l’extrême droite israéliennes à pousser encore plus loin leur avantage  il en a résulté un retrait palestinien de toute discussion, ce qui a, en retour, énervé Donald Trump qui menace désormais de couper les subsides américains aux organisations d’aide aux réfugiés palestiniens.


Dès le début de la nouvelle année, le parti du premier ministre Benjamin Netanyahou, le ministère de la justice et le Parlement ont tous avancé leurs pions afin de solidifier leur implantation dans les territoires occupés. Mardi 2 janvier 2018, aux petites heures du matin, la Knesset a voté une loi empêchant la « cession de toute partie de Jérusalem à une entité étrangère » sans le vote d’une majorité des deux tiers du Parlement, c’est-à-dire 80 voix sur 120 sièges. Sachant qu’une majorité simple de 60 voix est délicate à obtenir dans n’importe quelle circonstance au sein d’une assemblée fractionnée, et nécessite généralement des concessions importantes aux petits partis politiques, recueillir l’approbation des deux tiers des députés ressemble à une mission impossible.

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