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RétorsionAprès l’arrêt de la CJUE, le Front Polisario rêve de lever un « impôt révolutionnaire » au Sahara

25.12.2016 à 16 H 46 • Mis à jour le 25.12.2016 à 17 H 19 • Temps de lecture : 5 minutes
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Débouté par la Cour de justice européenne et alors que l’Accord agricole a été réactivé sans contrainte immédiate entre le Maroc et l’UE, le mouvement séparatiste veut faire valoir sa non application sur le territoire du Sahara jusqu’à imaginer une taxation inspirée du racket mafieux pour se financer

S’appuyant sur l’arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) qui a jugé, le 21 décembre, que l'accord agricole entre l'UE et le Maroc ne s'appliquait pas au Sahara occidental, le Front Polisario prépare une contre-offensive bien saugrenue et révélatrice de son idéologie. Il réfléchit à faire appliquer un « impôt révolutionnaire », selon le terme employé par Maghreb Confidentiel aux entreprises opérant sur le territoire dont il conteste la souveraineté au Maroc.


Celui-ci « souhaite rapidement entrer en contact avec ces dernières pour faire valoir son droit et réclamer des dommages et intérêts à celles qui ne mettront pas la main à la poche. Une taxe calculée sur les quinze dernières années d’activité est évoquée », selon des sources proches du mouvement séparatiste citées par Maghreb Confidentiel. Dans sa ligne de mire, les sociétés occidentales présentes, mais aussi les groupes marocains qui exportant depuis le territoire leurs produits vers l'UE, s’appuyant sur le fait que la CJUE a statué sur le fait que la Cour estime qu’ « il n’apparaît pas que ce peuple ait consenti à ce que l’accord soit appliqué au Sahara occidental ».

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Par @MarocAmar
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