S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk

Connectez-vous

ou

Abonnez-vous !
80 DH

1 mois
Découvrir les offres
Datadesk

Où en est le Maroc dans ses projets de dessalement de l’eau de mer ?

09.06.2023 à 15 H 59 • Mis à jour le 05.07.2023 à 16 H 06 • Temps de lecture : 10 minutes
Par
Durement touché par les changements climatiques et les années de sécheresse, le Maroc se lance dans une course contre la montre pour assurer ses ressources hydriques. C'est dans ce contexte que le royaume a opté pour la solution des stations de dessalement de l'eau de mer. Le Desk passe en revue les projets en cours et les usines déjà opérationnelles

« Le Maroc perdra 30 % de ses ressources en eau d'ici 2050 », tels ont été les mots de Nizar Baraka, ministre de l'Équipement et de l'Eau, pour illustrer la préoccupante situation de grave stress hydrique que vit en ce moment le Royaume.


Mais comme toute problématique a sa solution, le Maroc s'est attelé à résoudre celle de la rareté de l'eau en misant sur le dessalement de l'eau de mer, entre autres, comme solution durable pour la préservation de ces ressources hydriques, mais aussi pour répondre à la demande de plus en plus croissante de cette ressource vitale. Zoom sur les aspects les plus marquants de cette situation que le pays traverse, ainsi que sur les différents projets de dessalement d'eau de mer mis en place pour y remédier.


Les causes de cette crise hydrique que vit le Maroc sont multiples. Le Royaume a d'abord connu ces dernières années plusieurs épisodes de sécheresse qui ont entraîné une forte diminution du taux de remplissage de ses barrages, affectant ainsi l'approvisionnement en eau potable de sa population. Cela a également eu un impact sur l'activité agricole de plusieurs régions, contribuant ainsi à une hausse des prix des denrées alimentaires.


Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Le Desk Datadesk