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EnquêteBitcoin à Dakhla : Michael Toporek sanctuarise Soluna de ses déboires au Maroc

08.09.2021 à 01 H 05 • Mis à jour le 08.09.2021 à 01 H 05 • Temps de lecture : 5 minutes
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Le projet baptisé « Harmattan » de « ferme à bitcoins » à Dakhla qui promettait, sur le papier, de faire du Maroc un Eldorado du minage de cryptomonnaies sous couvert de blockchain pourrait bien se transformer en mirage du désert : l’Américain Michael Toporek, en délicatesse avec ses anciens partenaires, dont le fonds AfricInvest, a séparé le wagon marocain de ses investissements américains. Une pirouette pour geler, voire abandonner l’affaire

La firme Soluna, « leader de cloud computing intégré dans le monde » financée par les fonds d’investissement Brookstone Partners, annonçait en juillet 2018 un mégaprojet de blockchain-powering dans le sud marocain. Soutenue à l’époque par Dwight L. Bush, ancien ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, celle-ci ambitionnait d’y ériger une ferme éolienne de 900 MW pour alimenter des datacenters de cryptomonnaies, à l’image du fameux site Moonlite en Islande.


Au cœur de l’affaire Platinum Power documentée par Le Desk, le dossier était au point mort un an plus tard pour plusieurs raisons : des accusations de détournement du projet Soluna/AM Wind - porté à l’origine par l’énergéticien privé Platinum Power - contre son associé américain Michael Toporek, un défaut de garanties nécessaires à sa réalisation, mais aussi en raison de la forte réticence des autorités.


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