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Festival

La controverse du Festival des musiques sacrées de Fès: entre tire à la corde et soft power

29.01.2021 à 13 H 00 • Mis à jour le 31.01.2021 à 00 H 26 • Temps de lecture : 5 minutes
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Encore une fois, le management du Festival « le plus élitiste et le plus guindé » du Maroc, selon ses détracteurs, est déchiré par des luttes intestines alors qu’au fil des ans, l'événement phare qui a vocation de faire l’harmonie entre culture musicale et spiritualité perd de son aura. En cause, un problème profond de mode de gouvernance « qui le mine de l’intérieur »

Depuis quelques jours des informations contradictoires se télescopent au sujet de la tenue de la prochaine édition du Festival des musiques sacrées de Fès. D’un côté, l’association Fès-Saïss promet sa tenue du 4 au 12 juin sous le thème « Nouvelles Andalousies », tandis que la fondation Esprit de Fès dément catégoriquement l’annonce et considère que le contexte sanitaire demeure un sérieux obstacle à son organisation.


Par un démenti publié le 27 janvier par l’agence MAP, la fondation Esprit de Fès s'est dite étonnée de l'annonce faite par Abdelhamid Benmakhlouf et Faouzi Skali, s’exprimant tous deux au nom du Festival de Fès et de l’Association Fès-Saïss. « La Fondation Esprit de Fès, seule organisatrice sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi depuis 20 ans du Festival de Fès des Musiques Sacrées du Monde, dénonce ces déclarations », lit-on dans son communiqué qui les jugent « illégitimes et irresponsables ». Celle-ci annonce de plus que son Conseil d’administration « se réunira dans les prochaines semaines, pour contrer ces manœuvres contreproductives ».

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