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EuropeMercato des dirigeants de l’UE: à la fin, c’est l’Allemagne qui gagne

03.07.2019 à 18 H 14 • Mis à jour le 03.07.2019 à 18 H 14 • Temps de lecture : 7 minutes
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Alors que le Parlement a élu mercredi le social-démocrate italien David-Maria Sassoli à sa tête, les dirigeants européens ont fini par s'entendre sur des noms pour diriger l'UE dans les années à venir. Principale surprise d'un casting sans grande cohérence : la ministre de la défense allemande, proposée à la tête de la Commission

Une ministre allemande sur le déclin, une ex-ministre française sous Nicolas Sarkozy reconnue coupable pour « négligence » dans l’affaire Tapie, ou encore un ancien premier ministre belge qui a pactisé avec l’extrême droite avant de se faire éjecter du pouvoir en décembre dernier…


Il a fallu près de 26 heures de négociations, étalées de dimanche à mardi à Bruxelles – soit dix heures de plus que lors du sommet épique sur l’avenir de la Grèce en 2015 – pour que les dirigeants européens s’entendent sur les noms des probables futurs dirigeants de l’UE.


Ces derniers, en majorité des seconds couteaux de la politique européenne, ont été piochés dans trois partis européens différents, le PPE (droite, dont LR), les sociaux-démocrates (dont le PS) et les libéraux (dont LREM). Cette alliance à trois devrait former les contours de la coalition politique des cinq années à venir à Strasbourg.

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