Afrique du SudRamaphosa récupère le triste héritage de l’ère Zuma
Il aura donc fallu l’arracher de ses fonctions de président de l’Afrique du Sud à coups de démonte-pneu. Jacob Zuma, qui s’était toujours proclamé « fidèle soldat de l’African National Congress », a finalement dû être menacé d’une motion de censure de la part de son propre parti après plusieurs semaines de négociations et de psychodrames. En s’accrochant jusqu’au bout à son fauteuil (contrairement à son prédécesseur Thabo Mbeki, qui était devenu mal-aimé lui aussi et qui avait démissionné en 2008), Zuma sera parvenu à rater sa sortie de la même manière que son mandat et demi.
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