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ReportageEn Egypte, les failles d’une lutte antiterroriste obsolète

12.04.2017 à 13 H 23 • Mis à jour le 12.04.2017 à 18 H 01 • Temps de lecture : 6 minutes
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Après les attentats meurtriers contre deux églises coptes ce dimanche 9 avril, l’efficacité du dispositif sécuritaire, jugé désuet, est particulièrement remise en cause. De nombreux chrétiens présents sur place se disent de moins en moins protégés par l'État policier du président Sissi.

« Vous nous interdisez d’entrer alors qu’un terroriste a pu pénétrer les lieux sans problème. » Devant l’église Saint-Georges de Tanta, dans le delta du Nil égyptien, des fidèles s’impatientent devant les barrages policiers et les contrôles des jeunes bénévoles du lieu de culte endeuillé.


Ce dimanche 9 avril, jour de la fête des Rameaux marquant l’entrée dans la semaine de jeûne qui précède Pâques, deux attaques kamikazes ont tué au moins 45 personnes et fait plus d’une centaine de blessés. La première explosion a retenti le matin à l’intérieur de l’église Saint-Georges, à Tanta, la suivante à proximité de l’église Saint-Marc d’Alexandrie, juste après que le pape copte orthodoxe Tawadros II eut quitté les lieux.

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