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XénophobieAprès Cologne, l’Allemagne se ferme comme une huitre face aux Marocains

01.02.2016 à 22 H 00 • Mis à jour le 01.02.2016 à 22 H 09 • Temps de lecture : 7 minutes
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Les événements de la Saint-Sylvestre à Cologne ont sonné le glas de la politique d’ouverture de l’Allemagne prônée par Angela Merkel. Les Marocains sont parmi les premières victimes des amalgames et des stéréotypes. Ils sont désormais dans le viseur du discours de l’extrême droite qui fait tache d’huile dans la société.

La polémique qui a enflé ces dernières semaines en Allemagne semble être pliée maintenant, au moins diplomatiquement et politiquement. L’accord de principe conclu entre le roi Mohammed VI et la chancelière Angela Merkel, lors d’un entretien téléphonique entre les deux chefs d’Etat mercredi dernier, actant  le rapatriement des migrants clandestins marocains en Allemagne, a été perçu comme un épilogue à la crise née des agressions sexuelles du Nouvel an à Cologne. En réalité, cet apaisement n’est que de façade, la communauté marocaine pâtit désormais d’une poussée de fièvre aux relents racistes.


La chancelière Angela Merkel et le roi Mohammed VI. Les deux chefs d'Etat ont conclu un accord de rapatriement au Maroc des demandeurs d'asile se trouvant sur le sol allemand. AFP

Affaire réglée entre Mohammed VI et Merkel ?

Suite à cet accord, une réunion entre les chefs des partis au pouvoir en Allemagne a eu lieu le jeudi. Les dirigeants de l’Union chrétienne-sociale en Bavière (CSU), du Parti socio- démocrate (SPD) et de l’Union chrétienne démocrate (CDU) se sont mis d’accord pour prendre la décision d’inscrire dans la loi le Maroc et la Tunisie et l’Algérie comme pays « sûrs ».

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Par @StitouImad
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